Cette information balancée sur les réseaux sociaux dans la nuit du samedi 3 décembre au dimanche 4 décembre 2016, a surpris plus d'un sportif ivoirien : « Yaya Touré arrêté pour conduite en état d'ivresse ».

Selon L'Equipe, cette révélation a été faite par la police de Londres: « Il a été inculpé mardi 29 novembre pour conduite d'un véhicule motorisé avec un taux d'alcoolémie au-dessus de la limite », a écrit la Metropolitan Police dans un communiqué, rapporte le confrère sportif.

Et selon le même communiqué cité par L'Equipe, « le joueur devait comparaître devant le tribunal de Barkingside, dans l'Est londonien, le 13 décembre ».

Info ou intox, une chose est certaine, jusqu'à présent, les Ivoiriens ont du mal à croire à cela : « Quand ce n'est pas Samuel Eto'o, c'est Didier Drogba. Après, ça touche Yaya Touré, Adebayor ou encore d'autres stars du football africain.
Conduite en état d'ivresse, détournement de fonds pour construction d'hôpitaux, problèmes fiscaux... Selon la sulfureuse presse anglo-saxonne, ainsi va la ''nouvelle vie" de nos icônes de ces dix dernières années du football africain. Shit ! La faute à cette même et traditionnelle presse anglaise qui tronque et transforme les faits.
The Sun, Daily Mirror... avides de scandales, ne manquent pas, chaque mois de mettre maladroitement sous les feux de l'actualité, des stars du foot africain, pour apporter des démentis plusieurs semaines après...
À ce jeu là, que réserveront-ils dans les prochaines années à la nouvelle génération (Aubameyang, Sadio Mane, Mahrez...), peut-on lire sur la page facebook de « Soutien aux Eléphants ».

Dans le Groupe « Yaya Touré the best », Lamine Bafine Diarra ne décolère pas, après avoir appris la nouvelle : « Nous restons sereins, convaincus que notre capitaine demeure le modèle Idéal, en attendant le verdict de cette autre tricherie montée de toute pièce ».

La version de Yaya Touré est attendue pour la manifestation de la vérité.